Le vendredi 14 avril 2023, Marlène EMVOUTOU l’ancienne candidate à la présidence de la Fédération camerounaise de football ( Fecafoot), a eu gain de cause dans le procès qui l’opposait à sa bailleresse, Dame AFANAE epse KALASA. Une audience correctionnelle de la Cour d’appel du Centre à Yaoundé. Le délibéré dont la collégialité était présidée par le très aguerri et expérimenté magistrat Gilbert SCHILICK, après examen des faits, a donné gain de cause à Marlène EMVOUTOU. Dans l’extrait du plumitif l’on peut lire que sur le fond la Cour » Constate que Dame AFANE Francine épouse KALASA n’a pas justifié d’un contrat de bail dûment enregistré la liant à Dame EMVOUTOU AKA’A Cady Marlène en violation des dispositions des articles 313 et 314 du Code de procédure pénale prescrivant la production de l’original et à défaut, la copie certifiée conforme ;Infirme conséquemment le jugement entrepris ;
– Statuant à nouveau, déclare Dame EMVOUTOU AKA’A Cady Marlène, non coupable de filouterie de loyers des articles 74 et 322 alinéa 1 du Code pénal ». Et l’extrait du plumitif de poursuivre : » L’en relaxe pour infraction non caractérisée ;
Se déclare incompétente à statuer sur l’action civile ;
-Condamne Dame AFANE Francine épouse KALASA, aux dépens liquidés quant à présent à la somme de 63 450 francs, dépens d’instance compris , correspondant à six ( 06 mois) de contrainte par corps au cas où il y aurait lieu de l’exercer ;
– Décerne mandat d’incarcération contre elle à cet effet ;
– Avise les parties du délai de 10 jours à compter du lendemain du prononcé du présent arrêt pour former pourvoi ».Un arrêt clair et sans équivoque de la Cour d’appel du Centre, qui n’a cependant pas empêché les nombreux détracteurs de Marlène EMVOUTOU, de la vilipender, en arguant que cette leader d’opinion et dirigeante du football, était redevable de 25 mois ( imaginaires) de loyers impayés. La jeune dame qu’on dit être une grande gueule, a fait l’objet d’une cabale médiatique sans précédent, au mépris même de l’arrêt rendu par la Cour d’appel du Centre. À l’observation, bien de personnes voulaient lui régler des comptes personnels, et ont ainsi fait corps avec la plus abjecte subjectivité et la mauvaise foi, juste pour vilipender Marlène EMVOUTOU.
L’arrêt de la Cour d’appel du Centre sonne pourtant comme les cloches de la cathédrale de Yaoundé : audible et sonore pour tous : Marlène EMVOUTOU a été déclarée non coupable de filouterie de loyers.
Darenn Lambo Ebelle